Rêver un impossible rêve, porter le chagrin des départs, brûler d'une possible fièvre.
De voir les autres partir, souffrir sans pouvoir les soulager de leurs mal, que nous savons que ce mal ronges leurs corps à petit feu.
Ont restent auprès d'eux avec le mot " sa va aller ". Que nous savons qu'ils n'a plus rien à faire.
Ce petit corps qui amincis de jours en jours, ses yeux creux qui nous observent pour détecter notre moindre mouvement à leurs égard, car ils savent qu'il y a quelques choses qui n'est pas normale, car, ils savent que ce vieux corps deviens de plus en plus lourd.
Bruler d'une possible fièvre, partir ou personne ne connait le chemin, tentée la force et sans armure d'atteindre l'inaccessible étoile.
Suivre l'étoile, que m'importe mes chances, que m'importe le temps ou ma désespérance, toujours lutter, sans question, ni repos se damner dans sa coquille. Attendre le moment,
l' heure du moment.
Mon cœur bat lentement, ma vie s'éteint, tant que mes yeux resteras ouvert, je penserai a mes amours, a mes souvenirs.
En attendant que l'inaccessible étoile vienne me chercher.
A ma maman.
SISIE
